Nos clients l’ont fait: exemple de programme au Japon

Exemples de circuit au Japon

Voici quelques exemples de circuits sur mesure au Japon que nous proposons ou qui ont déjà été faits par nos clients et qui vous aiderons à construire votre voyage.

Une escapade à l’île de Hokkaido, où vous découvrirez pâturages et forêts vierges…

Une fugue dans le sud sur les îles de Kyushu ou de Shikoku pour y faire un itinéraire à travers les célèbres sources thermales du Japon.

Rester une journée de plus à Hiroshima pour faire une croisière sur la Mer Intérieure à travers un paysage magique et visite des îles de Ikuchi et Omishima.

Faire un séjour d’une semaine à Tokyo pour explorer les contrastes de la ville: les jardins, les temples, les sanctuaires, la Sumida, les filles excentriques de Shibuya, la vie de la jeunesse tokyoïte à Harajuku et à Ginza…Se balader dans le marché aux poissons le plus grand du monde, ou encore dans les marchés aux puces, où l’on trouve kimonos et estampes d’un Japon d’antan. Puis partir à la découverte de ses magnifiques alentours : Nikko, Kamakura, le Mont Fuji

Extrait d’un carnet de voyage

« …La Torii (portique en bois peint en rouge) menant au temple Ebisu semble flotter avec ses pieds dans l’eau. Contournant le bord du lac, un petit sentier pavé de pierres et agrémenté de buissons, se faufile parmi des pins centenaires, des roseaux, des fougères et du bambou, nous conduit au pied du portique. De là partent de petits escaliers se frayant difficilement un chemin parmi les pins, haut d’une centaine de mètres, le feuillage somptueux noyé dans un ciel bleu limpide, pour nous emmener au temple. La tradition veut qu’on s’arrête au milieu du parcours, devant une source d’eau pour se laver les mains avant de monter. Un jardin avec étang, carpes multicolores et carpes noires entourent les petits pagodons contenant des reliques, quelques maisonnettes et autels indépendants peints en rouge jalonnent la montée.

Le temple, au toit gris et boiseries rouges, se situe en haut des marches, à flanc de montagne. On peut apercevoir deux grandes étagères, l’une où s’accrochent des petites tablettes en bois contenant des écrits en Kanji, et l’autre chargée de feuilles de papier nouées en nœuds qui sont les vœux des fidèles. Il paraît qu’à la fête du nouvel an, le gardien du temple les brûle pour  que les vœux soient exaucés.

Kyoto, ce matin, cette balade sans but dans les rues bordant l’ancien canal était un beau moment. Voyant une dame en kimono entrer dans un petit temple de rien du tout, j’ai avancé timidement, et voyais une scène peu courante : un pavillon vitré baignant dans le soleil, où on entend vaguement les sons des cloches qui accompagnent la prière du matin des bonzes ; la première ayant disparu, dans le jardin je voyais une autre dame, son kimono pourpre contrastait nettement dans l’environnement de couleurs sobres du temple. Elle était debout, légèrement penchée en avant, les deux mains posées presque naturellement de façon oblique devant elle. Un jardinier est en train de ratisser le gravier et avec son balai dessine sur le sable des signes qui sont indéchiffrables pour les novices. Je continuais à me diriger vers le jardin et voyais un petit étang bordé d’arbustes taillés, parsemé de quelques rochers ; une douzaine de carpes nageaient paisiblement dans les eaux. L’eau de l’étang situé en haut du jardin, tombait en cascade, par deux petites marches de pierre, vers un minuscule ruisseau caché sous les bambous, créant ainsi une musique de fond à peine audible mais merveilleusement en harmonie avec l’ensemble. Un petit pont en bambou en forme d’arche mène à une lanterne de pierre à côté de la haie. Au bout de l’allée, une frêle branche de prunier tout en fleurs illumine ce coin encore sombre… »

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